“Précisément parce que je ne suis qu’un pauvre diable, je sens venir les coups de plus loin, j’ai l’habitude des coups, on ne se gêne pas avec moi. Rien ne me protege du scandale, les dignités ne me tiennent pas chaud (…). Je suis nu devant le scandale, aussi nu que vous serez vous-mêmes avec moi devant le juste juge; nu comme um ver. Il m’est donc facile de constater avant vous que le vent tourne au Nord, et lorsque je claque les dents, méfiez-vous, c’est peut-être qu’il neigera demain”.
(Georges Bernanos, Les Enfants Humiliés, p.225, Gallimard, 1949, cit. par Hans-Ur Von Balthasar, “Le Chrétien Bernanos”, p.53-4).
Jo diria que una idea no es pot rgtesirar… Però per provar…(Ostres, quina emoció, passar per aquí, després de tot el que he llegit en altres llocs… perquè mira que ets difícil de trobar…)
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